- A Cupidon par Pierre De Ronsard
- A Etienne du temple par Clément Marot
- A l’ambitieux et avare ennemi des bonnes lettres par Joachim Du Bellay
- A l’éclair violent de ta face divine par Théodore Agrippa D'Aubigné
- À la forêt de Gastine par Pierre De Ronsard
- A la louange de la forest par Eustorg De Beaulieu
- A longs filets de sang ce lamentable corps par Théodore Agrippa D'Aubigné
- A madame de Ferrare par Clément Marot
- A Madame Marguerite, d’écrire en sa langue par Joachim Du Bellay
- A Meline par Jean-Antoine De Baïf
- A monsieur d’Avanson par Joachim Du Bellay
- A monsieur de Pothon par Clément Marot
- A sa lyre par Pierre De Ronsard
- A son âme par Pierre De Ronsard
- A son ami lion par Clément Marot
- A son livre par Joachim Du Bellay
- A un créancier par Clément Marot
- A un poète français par Clément Marot
- A un poète ignorant par Clément Marot
- A une Damoyselle malade par Clément Marot
- A une médisante par Clément Marot
- A Vénus par Joachim Du Bellay
- Adieu aux Dames de la Cour par Clément Marot
- Ah longues nuicts d’hyver de ma vie bourrelles par Pierre De Ronsard
- Amour et Mort m’ont fait outrage par Clément Marot
- Amour me tue, et si je ne veux dire par Pierre De Ronsard
- Amour, tu sembles … par Pierre De Ronsard
- Amourette par Pierre De Ronsard
- Ange divin, qui mes plaies embaume par Pierre De Ronsard
- Après avoir longtemps erré sur le rivage par Joachim Du Bellay
- Après les vents, après le triste orage par Jean-Antoine De Baïf
- Astres cruels, et vous dieux inhumains par Joachim Du Bellay
- Au fleuve de Loire par Joachim Du Bellay
- Au Roi par Joachim Du Bellay
- Au roi de Navarre par Clément Marot
- Au seigneur Theocrenus, lisant à ses disciples par Clément Marot
- Aubade de May par Jean-Antoine De Baïf
- Autant comme l’on peut en un autre langage par Joachim Du Bellay
- Aux damoiselles paresseuses d’écrire à leurs amis par Clément Marot
- Avant le temps tes temples fleuriront par Pierre De Ronsard
- Avril par Rémy Belleau
- Ayant tant de malheurs gémi profondément par Joachim Du Bellay
- Babillarde, qui toujours viens par Jean-Antoine De Baïf
- Baif, qui, comme moi, prouves l’adversité par Joachim Du Bellay
- Ballade d’aucunes mauvaises coutumes qui règnent maintenant par Eustorg De Beaulieu
- Ballade de frère Lubin par Clément Marot
- Ballade de s’amie bien belle par Clément Marot
- Bien que la guerre soit âpre, fière et cruelle par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Bien que les champs, les fleuves et les lieux par Pierre De Ronsard
- Bien, je l’ay dit, je le confesse par Jean-Antoine De Baïf
- Bonjour mon coeur, bonjour ma douce vie par Pierre De Ronsard
- Brusquet à son retour vous racontera, Sire par Joachim Du Bellay
- C’est ores, mon Vineus, mon cher Vineus, c’est ore par Joachim Du Bellay
- C’était alors que le présent des dieux par Joachim Du Bellay
- C’était ores, c’était qu’à moi je devais vivre par Joachim Du Bellay
- Ce beau corail, ce marbre qui soupire par Pierre De Ronsard
- Ce doux hiver qui égale ses jours par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Ce jour de Mai qui a la tête peinte par Pierre De Ronsard
- Ce n’est l’ambition, ni le soin d’acquérir par Joachim Du Bellay
- Ce n’est le fleuve tusque au superbe rivage par Joachim Du Bellay
- Ce n’est pas sans propos qu’en vous le ciel a mis par Joachim Du Bellay
- Celle que Pyrrhe et le Mars de Libye par Joachim Du Bellay
- Celle qui de son chef les étoiles passait par Joachim Du Bellay
- Celle qui m’a tant pourmené par Clément Marot
- Celui qui boit … par Pierre De Ronsard
- Cent fois plus qu’à louer on se plaît à médire par Joachim Du Bellay
- Cependant qu’au palais de procès tu devises par Joachim Du Bellay
- Cependant que la Cour mes ouvrages lisait par Joachim Du Bellay
- Cependant que Magny … par Joachim Du Bellay
- Cependant que tu dis ta Cassandre divine par Joachim Du Bellay
- Cependant que tu suis le lièvre par la plaine par Joachim Du Bellay
- Ces cheveux d’or sont les liens Madame par Joachim Du Bellay
- Ces cheveux d’or, ce front de marbre par Joachim Du Bellay
- Ces grands monceaux pierreux, ces vieux murs que tu vois par Joachim Du Bellay
- Ces liens d’or, cette bouche vermeille par Pierre De Ronsard
- Ces yeux ces yeux, doux larrons de mon ame par Jean-Antoine De Baïf
- Ceux qui sont amoureux, leurs amours chanteront par Joachim Du Bellay
- Chanson par Pierre De Ronsard
- Chanson en forme de dialogue par Eustorg De Beaulieu
- Chanson sur le temps présent par Eustorg De Beaulieu
- Chant de Mai et de Vertu par Clément Marot
- Chant royal de la plus belle qui jamais fut au monde par Catherine D'Amboise
- Ciel, air et vents, plains et monts découverts par Pierre De Ronsard
- Comme jadis l’ame de l’univers par Joachim Du Bellay
- Comme l’on voit de loin sur la mer courroucée par Joachim Du Bellay
- Comme le champ semé en verdure foisonne par Joachim Du Bellay
- Comme le marinier, que le cruel orage par Joachim Du Bellay
- Comme on passe en été le torrent sans danger par Joachim Du Bellay
- Comme on voit sur la branche au mois de may la rose par Pierre De Ronsard
- Comme un chevreuil, quand le printemps destruit par Pierre De Ronsard
- Comme un qui veut curer quelque cloaque immonde par Joachim Du Bellay
- Complainte à sa dame par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Comte, qui ne fis onc compte de la grandeur par Joachim Du Bellay
- Contre Denise Sorcière par Pierre De Ronsard
- Contre l’ingratitude des hommes par Albert Babinot
- Contre la présence réelle par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Cousin, parle toujours des vices en commun par Joachim Du Bellay
- D’Amour d’Amour je fu je fu blessé par Jean-Antoine De Baïf
- D’où vient cela, belle, je vous supplie par Clément Marot
- D’un chapeau qui fleuronne par Jean-Antoine De Baïf
- D’un gourmand, ivrogne et paresseux par Eustorg De Beaulieu
- D’un soi défiant de sa dame par Clément Marot
- Dans l’enfer de son corps mon esprit attaché par Joachim Du Bellay
- Dans le parc de Thalcy, j’ai dressé deux plançons par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Dans le serein de sa jumelle flamme par Pierre De Ronsard
- De arrogance et gravité par Eustorg De Beaulieu
- De ce qu’on ne voit plus qu’une vague campagne par Joachim Du Bellay
- De ce royal palais que bâtiront mes doigts par Joachim Du Bellay
- De celui de qui l’amie a fait nouvel ami par Clément Marot
- De celui qui entra de nuit chez s’amie par Clément Marot
- De celui qui incite une jeune dame à faire ami par Clément Marot
- De celui qui ne pense qu’en s’amie par Clément Marot
- De celui qui nouvellement a reçu lettres de s’amie par Clément Marot
- De celui, qui est demeuré, et s’amie s’en est allée par Clément Marot
- De grand’ beauté ma Déesse est si pleine par Joachim Du Bellay
- De l’abbé et de son valet par Clément Marot
- De l’absent de s’amie par Clément Marot
- De l’amant douloureux par Clément Marot
- De l’amant marri contre sa dame par Clément Marot
- De l’amour du siècle antique par Clément Marot
- De l’amoureux ardant par Clément Marot
- De l’ombre de la treille par Eustorg De Beaulieu
- De la jeune dame qui a vieil mari par Clément Marot
- De la mort de monsieur de Chissay par Clément Marot
- De la rose par Clément Marot
- De quelque autre sujet que j’écrive, Jodelle par Joachim Du Bellay
- De Rose par Jean-Antoine De Baïf
- De sa grande amie par Clément Marot
- De soi-même par Clément Marot
- De son plaisir par Albert Babinot
- De voir mignon du roi un courtisan honnête par Joachim Du Bellay
- De votre Dianet par Joachim Du Bellay
- Dedans des Prez je vis une Dryade par Pierre De Ronsard
- Dedans le ventre obscur, où jadis fut enclos par Joachim Du Bellay
- Déjà la nuit en son parc amassait par Joachim Du Bellay
- Depuis le jour que mon ame fut prise par Jean-Antoine De Baïf
- Depuis qu’Amour ma poitrine recuit par Jean-Antoine De Baïf
- Depuis que j’ai laissé mon naturel séjour par Joachim Du Bellay
- Des trois couleurs, gris, tanné et noir par Clément Marot
- Dessous ce grand François, dont le bel astre luit par Joachim Du Bellay
- Dessus un mont une flamme allumée par Joachim Du Bellay
- Diane, ta coutume est de tout déchirer par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Dieu gard ma Maîtresse et Régente par Clément Marot
- Digne fils de Henri, notre Hercule gaulois par Joachim Du Bellay
- Divins esprits, dont la poudreuse cendre par Joachim Du Bellay
- Donne moy tes presens en ces jours que la Brume par Pierre De Ronsard
- Douce et belle bouchelette par Rémy Belleau
- Douce Maîtresse par Pierre De Ronsard
- Doulcin, quand quelquefois je vois ces pauvres filles par Joachim Du Bellay
- Du content en amours par Clément Marot
- Du disciple soutenant son maître contre les détracteurs par Clément Marot
- Du mal content d’amour par Clément Marot
- Du partement d’Anne par Clément Marot
- Du Printemps par Jean-Antoine De Baïf
- Durant l’esté, par le vergier grillé par Jean-Antoine De Baïf
- Elégie à Janet, peintre du roi par Pierre De Ronsard
- Embrasse-moi, mon coeur… par Rémy Belleau
- En mieux il tournera l’usage des cinq sens par Théodore Agrippa D'Aubigné
- En mille crespillons les cheveux se friser par Joachim Du Bellay
- En un petit esquif éperdu, malheureux par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Encore que l’on eût heureusement compris par Joachim Du Bellay
- Épigramme qu’il perdit contre Hélène de Tournon par Clément Marot
- Épitaphe par Jean-Antoine De Baïf
- Épitaphe de Jehan Serre, excellent joueur de farces par Clément Marot
- Espérez-vous que la postérité par Joachim Du Bellay
- Esprit royal, qui prends de lumière éternelle par Joachim Du Bellay
- Est-il donc vrai qu’il faut que ma vue enchantée par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Et je pensais aussi ce que pensait Ulysse par Joachim Du Bellay
- Et puis je vis l’arbre dodonien par Joachim Du Bellay
- Extase par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Fasse le ciel (quand il voudra) revivre par Joachim Du Bellay
- Finalement sur le point que Morphée par Joachim Du Bellay
- Flatter un créditeur, pour son terme allonger par Joachim Du Bellay
- Foudroye moy de grace par Pierre De Ronsard
- France, mère des arts, des armes et des lois par Joachim Du Bellay
- Francine a si bonne grace par Jean-Antoine De Baïf
- Fuyons, Dilliers, fuyons cette cruelle terre par Joachim Du Bellay
- Gordes, à m’est avis que je suis éveillé par Joachim Du Bellay
- Gordes, j’ai en horreur un vieillard vicieux par Joachim Du Bellay
- Gordes, que Du Bellay aime plus que ses yeux par Joachim Du Bellay
- Ha ! que je porte et de haine et d’envie par Pierre De Ronsard
- Ha, que tu m’es cruelle par Jean-Antoine De Baïf
- Haute beauté dans une humble pucelle par Jean-Antoine De Baïf
- Helas, si tu me vois constant en inconstance par Jean-Antoine De Baïf
- Heureux celui qui peut longtemps suivre la guerre par Joachim Du Bellay
- Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage par Joachim Du Bellay
- Heureux, de qui la mort de sa gloire est suivie par Joachim Du Bellay
- Ici de mille fards la traïson se déguise par Joachim Du Bellay
- Il fait bon voir, Paschal, un conclave serré par Joachim Du Bellay
- Il faut laisser maisons et vergers et jardins par Pierre De Ronsard
- J’ai contenté par Clément Marot
- J’ai grand désir par Clément Marot
- J’attends secours de ma seule pensée par Clément Marot
- J’ouvre mon estomac, une tombe sanglante par Théodore Agrippa D'Aubigné
- J’ai l’esprit tout ennuyé par Pierre De Ronsard
- J’ai pour maitresse … par Pierre De Ronsard
- J’aime la liberté, et languis en service par Joachim Du Bellay
- Je brûle avec mon âme et mon sang rougissant par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Je fus jadis Hercule, or Pasquin je me nomme par Joachim Du Bellay
- Je hais du Florentin l’usurière avarice par Joachim Du Bellay