
Découvrez les œuvres de Théodore Agrippa d'Aubigné, poète et historien né le 08/02/1552 en France, décédé le 09/05/1630 en France.
- A l’éclair violent de ta face divine
- A longs filets de sang ce lamentable corps
- Bien que la guerre soit âpre, fière et cruelle
- Ce doux hiver qui égale ses jours
- Complainte à sa dame
- Contre la présence réelle
- Dans le parc de Thalcy, j’ai dressé deux plançons
- Diane, ta coutume est de tout déchirer
- En mieux il tournera l’usage des cinq sens
- En un petit esquif éperdu, malheureux
- Est-il donc vrai qu’il faut que ma vue enchantée
- Extase
- J’ouvre mon estomac, une tombe sanglante
- Je brûle avec mon âme et mon sang rougissant
- Je sens bannir ma peur et le mal que j’endure
- Jugement (1)
- Jugement (2)
- L’hiver du sieur d’Aubigné
- La chambre dorée
- Les lys me semblent noirs, le miel aigre à outrance
- Mais quoi ! c’est trop chanté…
- Mais quoi ! déjà les Cieux s’accordent à pleurer
- Mille baisers perdus, mille et mille faveurs
- Misères
- N’a doncques peu l’amour d’une mignarde rage
- Nos désirs sont d’amour la dévorante braise
- Nous ferons, ma Diane, un jardin fructueux
- Ô divine Inconstance, aie pitié de moi
- Oui, je suis proprement à ton nom immortel
- Oui, mais ainsi qu’on voit en la guerre civile
- Pressé de désespoir, mes yeux flambants je dresse
- Prière du matin
- Prière du soir
- Pseaume troisième
- Puisque le cors blessé, mollement estendu
- Quand du sort inhumain les tenailles flambantes
- Quand mon esprit jadis sujet à ta colère
- Quiconque sur les os des tombeaux effroyables
- Réveil
- Ronsard si tu as su par tout le monde épandre
- Si vous voyiez mon coeur ainsi que mon visage
- Sort inique et cruel ! le triste laboureur
- Soubs la tremblante courtine
- Soupirs épars, sanglots en l’air perdus
- Sous un oeil languissant et pleurant à demi
- Sus ! que mon âme donc aille servir son âme
- Tout cela qui sent l’homme à mourir me convie
- Tu vois, juste vengeur, les fleaux de ton Eglise
- Un clairvoyant faucon en volant par rivière
- Usons ici le fiel de nos fâcheuses vies
- Voici la mort du ciel…
- Vous qui avez écrit qu’il n’y a plus en terre