Découvrez les œuvres de Joachim Du Bellay, poète français.
- A l’ambitieux et avare ennemi des bonnes lettres
- A Madame Marguerite, d’écrire en sa langue
- A monsieur d’Avanson
- A son livre
- A Vénus
- Après avoir longtemps erré sur le rivage
- Astres cruels, et vous dieux inhumains
- Au fleuve de Loire
- Au Roi
- Autant comme l’on peut en un autre langage
- Ayant tant de malheurs gémi profondément
- Baif, qui, comme moi, prouves l’adversité
- Brusquet à son retour vous racontera, Sire
- C’est ores, mon Vineus, mon cher Vineus, c’est ore
- C’était alors que le présent des dieux
- C’était ores, c’était qu’à moi je devais vivre
- Ce n’est l’ambition, ni le soin d’acquérir
- Ce n’est le fleuve tusque au superbe rivage
- Ce n’est pas sans propos qu’en vous le ciel a mis
- Celle que Pyrrhe et le Mars de Libye
- Celle qui de son chef les étoiles passait
- Cent fois plus qu’à louer on se plaît à médire
- Cependant qu’au palais de procès tu devises
- Cependant que la Cour mes ouvrages lisait
- Cependant que Magny …
- Cependant que tu dis ta Cassandre divine
- Cependant que tu suis le lièvre par la plaine
- Ces cheveux d’or sont les liens Madame
- Ces cheveux d’or, ce front de marbre
- Ces grands monceaux pierreux, ces vieux murs que tu vois
- Ceux qui sont amoureux, leurs amours chanteront
- Comme jadis l’ame de l’univers
- Comme l’on voit de loin sur la mer courroucée
- Comme le champ semé en verdure foisonne
- Comme le marinier, que le cruel orage
- Comme on passe en été le torrent sans danger
- Comme un qui veut curer quelque cloaque immonde
- Comte, qui ne fis onc compte de la grandeur
- Cousin, parle toujours des vices en commun
- Dans l’enfer de son corps mon esprit attaché
- De ce qu’on ne voit plus qu’une vague campagne
- De ce royal palais que bâtiront mes doigts
- De grand’ beauté ma Déesse est si pleine
- De quelque autre sujet que j’écrive, Jodelle
- De voir mignon du roi un courtisan honnête
- De votre Dianet
- Dedans le ventre obscur, où jadis fut enclos
- Déjà la nuit en son parc amassait
- Depuis que j’ai laissé mon naturel séjour
- Dessous ce grand François, dont le bel astre luit
- Dessus un mont une flamme allumée
- Digne fils de Henri, notre Hercule gaulois
- Divins esprits, dont la poudreuse cendre
- Doulcin, quand quelquefois je vois ces pauvres filles
- En mille crespillons les cheveux se friser
- Encore que l’on eût heureusement compris
- Espérez-vous que la postérité
- Esprit royal, qui prends de lumière éternelle
- Et je pensais aussi ce que pensait Ulysse
- Et puis je vis l’arbre dodonien
- Fasse le ciel (quand il voudra) revivre
- Finalement sur le point que Morphée
- Flatter un créditeur, pour son terme allonger
- France, mère des arts, des armes et des lois
- Fuyons, Dilliers, fuyons cette cruelle terre
- Gordes, à m’est avis que je suis éveillé
- Gordes, j’ai en horreur un vieillard vicieux
- Gordes, que Du Bellay aime plus que ses yeux
- Heureux celui qui peut longtemps suivre la guerre
- Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage
- Heureux, de qui la mort de sa gloire est suivie
- Ici de mille fards la traïson se déguise
- Il fait bon voir, Paschal, un conclave serré
- J’aime la liberté, et languis en service
- Je fus jadis Hercule, or Pasquin je me nomme
- Je hais du Florentin l’usurière avarice
- Je hais plus que la mort un jeune casanier
- Je me ferai savant en la philosophie
- Je n’ai jamais pensé que cette voûte ronde
- Je n’escris point d’amour, n’estant point amoureux
- Je ne commis jamais fraude ni maléfice
- Je ne découvre ici les mystères sacrés
- Je ne suis pas de ceux qui robent la louange
- Je ne te conterai de Bologne et Venise
- Je ne veux feuilleter les exemplaires Grecs
- Je ne veux point fouiller au sein de la nature
- Je vis haut élevé sur colonnes d’ivoire
- Je vis l’oiseau qui le soleil contemple
- Je vis sourdre d’un roc une vive fontaine
- Je vis un fier torrent, dont les flots écumeux
- L’olive
- La grecque poésie orgueilleuse se vante
- La jeunesse, Du Val, jadis me fit écrire
- La nef qui longuement a voyagé, Dillier
- La nuit m’est courte, et le jour trop me dure
- La terre y est fertile, amples les édifices
- Las où est maintenant ce mespris de Fortune
- Le Babylonien ses hauts murs vantera
- Le Breton est savant et sait fort bien écrire
- Le grand flambeau gouverneur de l’année
- Les Boys fueilluz, et les herbeuses Ryves
- Loyre fameux, qui ta petite Source
- Magny, je ne puis voir un prodigue d’honneur
- Maintenant je pardonne à la douce fureur
- Malheureux l’an, le mois, le jour, l’heure et le point
- Maraud, qui n’es maraud que de nom seulement
- Marcher d’un grave pas, et d’un grave sourcil
- Mars, vergogneux d’avoir donné tant d’heur
- Maudit soit mille fois le Borgne de Libye
- Me soit amour ou rude, ou favorable
- Morel, quand quelquefois je perds le temps à lire
- Muse, qui autrefois chantas la verte Olive
- N’étant de mes ennuis la fortune assouvie
- N’étant, comme je suis, encore exercité
- Ne lira-t-on jamais que ce dieu rigoureux
- Ne pense pas, Bouju, que les nymphes latines
- Ne t’ébahis, Ronsard, la moitié de mon âme
- Ni la fureur de la flamme enragée
- Ni par les bois les Dryades courantes
- Non autrement qu’on voit la pluvieuse nue
- Non pour ce qu’un grand roi ait été votre père
- Nous ne faisons la cour aux filles de Mémoire
- Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome
- Ô beaux cheveux d’argent mignonnement retors
- Ô combien est heureux qui n’est contraint de feindre
- Ô marâtre nature (et marâtre es-tu bien
- Ô qu’heureux est celui qui peut passer son âge
- Ô que celui était cautement sage
- Ô que tu es heureux, si tu connais ton heur
- Ô trois et quatre fois malheureuse la terre
- On donne les degrés au savant écolier
- Ores, plus que jamais, me plaît d’aimer la Muse
- Où que je tourne l’oeil, soit vers le Capitole
- Pâles esprits, et vous ombres poudreuses
- Panjas, veux-tu savoir quels sont mes passe-temps
- Par armes et vaisseaux Rome dompta le monde
- Plus qu’aux bords Aetëans le brave fils d’Eson
- Plus riche assez que ne se montrait celle
- Prélat, à qui les cieux ce bonheur ont donné
- Puis m’apparut une pointe aiguisée
- Qu’heureux tu es, Baïf, heureux, et plus qu’heureux
- Quand ce brave séjour, honneur du nom Latin
- Quand cette belle fleur premièrement je vis
- Quand je te dis adieu, pour m’en venir ici
- Quand je vois ces messieurs, desquels l’autorité
- Quand je voudrai sonner de mon grand Avanson
- Quand la fureur, qui bat les grands coupeaux
- Quand le Soleil lave sa tête blonde
- Que dirons-nous, Melin, de cette cour romaine
- Que ferai-je, Morel ? Dis-moi, si tu l’entends
- Que n’ai-je encor la harpe thracienne
- Quel est celui qui veut faire croire de soi
- Qui a nombré, quand l’astre, qui plus luit
- Qui a vu quelquefois un grand chêne asséché
- Qui est ami du coeur est ami de la bourse
- Qui niera, Gillebert, s’il ne veut résister
- Qui voudra voir tout ce qu’ont pu nature
- Qui voudrait figurer la romaine grandeur
- Quiconque, mon Bailleul, fait longuement séjour
- Ronsard, j’ai vu l’orgueil des colosses antiques
- Sacrés coteaux, et vous saintes ruines
- Scève, je me trouvai comme le fils dAnchise
- Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon oeil
- Si après quarante ans de fidèle service
- Si celui qui s’apprête à faire un long voyage
- Si fruits, raisins et blés, et autres telles choses
- Si je monte au Palais, je n’y trouve qu’orgueil
- Si l’aveugle fureur, qui cause les batailles
- Si la perte des tiens, si les pleurs de ta mère
- Si la vertu, qui est de nature immortelle
- Si les larmes servaient de remède au malheur
- Si mes écrits, Ronsard, sont semés de ton los
- Si nostre vie est moins qu’une journée…
- Si onques de pitié ton âme fut atteinte
- Si par peine et sueur et par fidélité
- Si pour avoir passé sans crime sa jeunesse
- Si tu m’en crois, Baïf, tu changeras Parnasse
- Si tu ne sais, Morel, ce que je fais ici
- Si tu veux sûrement en cour te maintenir
- Sire, celui qui est a formé toute essence
- Sur la croupe d’un mont je vis une fabrique
- Sur la rive d’un fleuve une nymphe éplorée
- Tant que l’oiseau de Jupiter vola
- Telle que dans son char la Bérécynthienne
- Tels que l’on vit jadis les enfants de la Terre
- Toi qui de Rome émerveillé contemples
- Tout ce qu’Egypte en pointe façonna
- Tout effrayé de ce monstre nocturne
- Tout le parfait dont le ciel nous honore
- Tu dis que Du Bellay tient réputation
- Tu ne me vois jamais, Pierre, que tu ne die
- Tu sois la bienvenue, ô bienheureuse trêve !
- Tu t’abuses, Belleau, si pour être savant
- Un plus savant que moi, Paschal, ira songer
- Une louve je vis sous l’antre d’un rocher
- Veux-tu savoir, Duthier, quelle chose c’est Rome
- Vivons, Gordes, vivons, vivons, et pour le bruit
- Voyant l’ambition, l’envie, et l’avarice
- Vu le soin ménager dont travaillé je suis