Découvrez les œuvres de Pierre de Ronsard, poète français né le 11/09/1524 à Couture-sur-Loir (France), décédé le 27/12/1585 à La Riche (France).
- A Cupidon
- À la forêt de Gastine
- A sa lyre
- A son âme
- Ah longues nuicts d’hyver de ma vie bourrelles
- Amour me tue, et si je ne veux dire
- Amour, tu sembles …
- Amourette
- Ange divin, qui mes plaies embaume
- Avant le temps tes temples fleuriront
- Bien que les champs, les fleuves et les lieux
- Bonjour mon coeur, bonjour ma douce vie
- Ce beau corail, ce marbre qui soupire
- Ce jour de Mai qui a la tête peinte
- Celui qui boit …
- Ces liens d’or, cette bouche vermeille
- Chanson
- Ciel, air et vents, plains et monts découverts
- Comme on voit sur la branche au mois de may la rose
- Comme un chevreuil, quand le printemps destruit
- Contre Denise Sorcière
- Dans le serein de sa jumelle flamme
- Dedans des Prez je vis une Dryade
- Donne moy tes presens en ces jours que la Brume
- Douce Maîtresse
- Elégie à Janet, peintre du roi
- Foudroye moy de grace
- Ha ! que je porte et de haine et d’envie
- Il faut laisser maisons et vergers et jardins
- J’ai l’esprit tout ennuyé
- J’ai pour maitresse …
- Je n’ai plus que les os…
- Je plante en ta faveur cet arbre de Cybèle
- Je veus lire en trois jours l’Iliade d’Homere
- Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse
- Je voudrais bien richement jaunissant
- Je voudrais être Ixion et Tantale
- Je vous envoye un bouquet que ma main
- L’an se rajeunissait en sa verte jouvence
- Le boyteus mari de Vénus …
- Le Ciel ne veut, Dame, que je jouisse
- Le soir qu’Amour vous fit en la salle descendre
- Le vintieme d’Avril couché sur l’herbelette
- Ma maîtresse est toute angelette
- Madrigal
- Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi
- Marie, à tous les coups vous me venez reprendre
- Marie, baisez-moi ; non, ne me baisez pas
- Marie, levez-vous, ma jeune paresseuse
- Marie, que je sers en trop cruel destin
- Marie, qui voudrait votre beau nom tourner
- Marie, vous avez la joue aussi vermeille
- Marie, vous passez en taille, et en visage
- Meschantes nuicts d’hyver
- Mignonne, allons voir si la rose
- Mon Dieu, que j’aime à baiser les beaux yeux
- Ni de son chef le trésor crépelu
- Ny voir flamber au point du jour les roses
- Ô doux parler, dont l’appât doucereux
- Ô Fontaine Bellerie
- Ode à Cassandre
- Ode à l’Aloüette
- Ode à la fièvre
- Ode en dialogue des yeux et de son coeur
- Ode en dialogue, l’Espérance et Ronsard
- Odelette
- Odelette à l’Arondelle
- Odelette à sa maistresse
- Odelette a son bouquet
- Odelette à une jeune maîtresse
- Ores l’effroi et ores l’espérance
- Par un destin dedans mon coeur demeure
- Petit nombril, que mon penser adore
- Plus mille fois que nul or terrien
- Plût-il à Dieu n’avoir jamais tâté
- Pour son tombeau
- Pourtant si ta maîtresse…
- Pren ceste rose aimable comme toy
- Quand au temple nous serons
- Quand je pense à ce jour, où je la vey si belle
- Quand je suis tout baissé sur votre belle face
- Quand je suis vingt ou trente mois
- Quand je te voy seule assise à par-toy
- Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle
- Que tu es Ciceron
- Qui voudra voir comme un Dieu me surmonte
- Quoy mon ame, dors tu engourdie en ta masse
- Si je trépasse entre tes bras, Madame
- Si mille oeillets, si mille liz j’embrasse
- Si seulement l’image de la chose
- Soit que son or se crêpe lentement
- Stances
- Sur mes vingt ans, pur d’offense et de vice
- Tant de fois s’appointer, tant de fois se fascher
- Te regardant assise auprès de ta cousine
- Une beauté de quinze ans enfantine
- Verson ces roses pres ce vin
- Vous me distes, Maitresse, estant à la fenestre
- Vu que tu es plus blanche