- Je hais plus que la mort un jeune casanier par Joachim Du Bellay
- Je me ferai savant en la philosophie par Joachim Du Bellay
- Je n’ai jamais pensé que cette voûte ronde par Joachim Du Bellay
- Je n’ai plus que les os… par Pierre De Ronsard
- Je n’escris point d’amour, n’estant point amoureux par Joachim Du Bellay
- Je ne commis jamais fraude ni maléfice par Joachim Du Bellay
- Je ne découvre ici les mystères sacrés par Joachim Du Bellay
- Je ne fais rien que requérir par Clément Marot
- Je ne suis pas de ceux qui robent la louange par Joachim Du Bellay
- Je ne te conterai de Bologne et Venise par Joachim Du Bellay
- Je ne veux feuilleter les exemplaires Grecs par Joachim Du Bellay
- Je ne veux point fouiller au sein de la nature par Joachim Du Bellay
- Je plante en ta faveur cet arbre de Cybèle par Pierre De Ronsard
- Je sens bannir ma peur et le mal que j’endure par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Je suis aimé de la plus belle par Clément Marot
- Je veus lire en trois jours l’Iliade d’Homere par Pierre De Ronsard
- Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse par Pierre De Ronsard
- Je vis haut élevé sur colonnes d’ivoire par Joachim Du Bellay
- Je vis l’oiseau qui le soleil contemple par Joachim Du Bellay
- Je vis sourdre d’un roc une vive fontaine par Joachim Du Bellay
- Je vis un fier torrent, dont les flots écumeux par Joachim Du Bellay
- Je voudrais bien richement jaunissant par Pierre De Ronsard
- Je voudrais être Ixion et Tantale par Pierre De Ronsard
- Je vous envoye un bouquet que ma main par Pierre De Ronsard
- Jouissance vous donnerai par Clément Marot
- Jugement (1) par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Jugement (2) par Théodore Agrippa D'Aubigné
- L’Amour qui me tourmente par Jean-Antoine De Baïf
- L’hiver du sieur d’Aubigné par Théodore Agrippa D'Aubigné
- L’an se rajeunissait en sa verte jouvence par Pierre De Ronsard
- L’olive par Joachim Du Bellay
- La chambre dorée par Théodore Agrippa D'Aubigné
- La Cygalle par Rémy Belleau
- La grecque poésie orgueilleuse se vante par Joachim Du Bellay
- La jeunesse, Du Val, jadis me fit écrire par Joachim Du Bellay
- La nef qui longuement a voyagé, Dillier par Joachim Du Bellay
- La nuit m’est courte, et le jour trop me dure par Joachim Du Bellay
- La pierre aqueuse par Rémy Belleau
- La pierre du coq par Rémy Belleau
- La Rose par Jean-Antoine De Baïf
- La terre y est fertile, amples les édifices par Joachim Du Bellay
- Languir me fais sans t’avoir offensée par Clément Marot
- Las où est maintenant ce mespris de Fortune par Joachim Du Bellay
- Le Babylonien ses hauts murs vantera par Joachim Du Bellay
- Le boyteus mari de Vénus … par Pierre De Ronsard
- Le Breton est savant et sait fort bien écrire par Joachim Du Bellay
- Le Ciel ne veut, Dame, que je jouisse par Pierre De Ronsard
- Le Désir par Rémy Belleau
- Le grand flambeau gouverneur de l’année par Joachim Du Bellay
- Le soir qu’Amour vous fit en la salle descendre par Pierre De Ronsard
- Le vintieme d’Avril couché sur l’herbelette par Pierre De Ronsard
- Les Boys fueilluz, et les herbeuses Ryves par Joachim Du Bellay
- Les lys me semblent noirs, le miel aigre à outrance par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Loyre fameux, qui ta petite Source par Joachim Du Bellay
- Ma Dame ne m’a pas vendu par Clément Marot
- Ma maîtresse est toute angelette par Pierre De Ronsard
- Madrigal par Pierre De Ronsard
- Magny, je ne puis voir un prodigue d’honneur par Joachim Du Bellay
- Maintenant je pardonne à la douce fureur par Joachim Du Bellay
- Mais quoi ! c’est trop chanté… par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Mais quoi ! déjà les Cieux s’accordent à pleurer par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi par Pierre De Ronsard
- Malheureux l’an, le mois, le jour, l’heure et le point par Joachim Du Bellay
- Maraud, qui n’es maraud que de nom seulement par Joachim Du Bellay
- Marcher d’un grave pas, et d’un grave sourcil par Joachim Du Bellay
- Marie, à tous les coups vous me venez reprendre par Pierre De Ronsard
- Marie, baisez-moi ; non, ne me baisez pas par Pierre De Ronsard
- Marie, levez-vous, ma jeune paresseuse par Pierre De Ronsard
- Marie, que je sers en trop cruel destin par Pierre De Ronsard
- Marie, qui voudrait votre beau nom tourner par Pierre De Ronsard
- Marie, vous avez la joue aussi vermeille par Pierre De Ronsard
- Marie, vous passez en taille, et en visage par Pierre De Ronsard
- Mars, vergogneux d’avoir donné tant d’heur par Joachim Du Bellay
- Maudit soit mille fois le Borgne de Libye par Joachim Du Bellay
- Me soit amour ou rude, ou favorable par Joachim Du Bellay
- Meschantes nuicts d’hyver par Pierre De Ronsard
- Mets-moi dessus la mer d’où le soleil se lève par Jean-Antoine De Baïf
- Metz moy au bord d’ou le soleil se lève par Jean-Antoine De Baïf
- Mignonne, allons voir si la rose par Pierre De Ronsard
- Mille baisers perdus, mille et mille faveurs par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Misères par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Mon Dieu, que j’aime à baiser les beaux yeux par Pierre De Ronsard
- Morel, quand quelquefois je perds le temps à lire par Joachim Du Bellay
- Muse, qui autrefois chantas la verte Olive par Joachim Du Bellay
- N’a doncques peu l’amour d’une mignarde rage par Théodore Agrippa D'Aubigné
- N’étant de mes ennuis la fortune assouvie par Joachim Du Bellay
- N’étant, comme je suis, encore exercité par Joachim Du Bellay
- Ne lira-t-on jamais que ce dieu rigoureux par Joachim Du Bellay
- Ne pense pas, Bouju, que les nymphes latines par Joachim Du Bellay
- Ne regreter point les mors par Albert Babinot
- Ne t’ébahis, Ronsard, la moitié de mon âme par Joachim Du Bellay
- Ni de son chef le trésor crépelu par Pierre De Ronsard
- Ni la fureur de la flamme enragée par Joachim Du Bellay
- Ni par les bois les Dryades courantes par Joachim Du Bellay
- Non autrement qu’on voit la pluvieuse nue par Joachim Du Bellay
- Non pour ce qu’un grand roi ait été votre père par Joachim Du Bellay
- Nos désirs sont d’amour la dévorante braise par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Nous ferons, ma Diane, un jardin fructueux par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Nous ne faisons la cour aux filles de Mémoire par Joachim Du Bellay
- Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome par Joachim Du Bellay
- Ny voir flamber au point du jour les roses par Pierre De Ronsard
- Ô beaux cheveux d’argent mignonnement retors par Joachim Du Bellay
- Ô combien est heureux qui n’est contraint de feindre par Joachim Du Bellay
- Ô divine Inconstance, aie pitié de moi par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Ô doux parler, dont l’appât doucereux par Pierre De Ronsard
- Ô doux plaisir plein de doux pensement par Jean-Antoine De Baïf
- Ô Fontaine Bellerie par Pierre De Ronsard
- Ô ma belle rebelle par Jean-Antoine De Baïf
- Ô marâtre nature (et marâtre es-tu bien par Joachim Du Bellay
- Ô qu’heureux est celui qui peut passer son âge par Joachim Du Bellay
- Ô que celui était cautement sage par Joachim Du Bellay
- Ô que tu es heureux, si tu connais ton heur par Joachim Du Bellay
- Ô Toy par qui jour et nuit je soupir par Jean-Antoine De Baïf
- Ô trois et quatre fois malheureuse la terre par Joachim Du Bellay
- Ode à Cassandre par Pierre De Ronsard
- Ode à l’Aloüette par Pierre De Ronsard
- Ode à la fièvre par Pierre De Ronsard
- Ode en dialogue des yeux et de son coeur par Pierre De Ronsard
- Ode en dialogue, l’Espérance et Ronsard par Pierre De Ronsard
- Odelette par Pierre De Ronsard
- Odelette à l’Arondelle par Pierre De Ronsard
- Odelette à sa maistresse par Pierre De Ronsard
- Odelette a son bouquet par Pierre De Ronsard
- Odelette à une jeune maîtresse par Pierre De Ronsard
- On donne les degrés au savant écolier par Joachim Du Bellay
- Or voy-je bien qu’il faut vivre en servage par Jean-Antoine De Baïf
- Ores l’effroi et ores l’espérance par Pierre De Ronsard
- Ores, plus que jamais, me plaît d’aimer la Muse par Joachim Du Bellay
- Où que je tourne l’oeil, soit vers le Capitole par Joachim Du Bellay
- Oui, je suis proprement à ton nom immortel par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Oui, mais ainsi qu’on voit en la guerre civile par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Pâles esprits, et vous ombres poudreuses par Joachim Du Bellay
- Panjas, veux-tu savoir quels sont mes passe-temps par Joachim Du Bellay
- Par armes et vaisseaux Rome dompta le monde par Joachim Du Bellay
- Par un destin dedans mon coeur demeure par Pierre De Ronsard
- Pavane – Belle qui tiens ma vie par Thoinot Arbeau
- Pendant que vostre main docte … par Rémy Belleau
- Petit nombril, que mon penser adore par Pierre De Ronsard
- Plaisir n’ai plus, mais vis en déconfort par Clément Marot
- Plus mille fois que nul or terrien par Pierre De Ronsard
- Plus qu’aux bords Aetëans le brave fils d’Eson par Joachim Du Bellay
- Plus riche assez que ne se montrait celle par Joachim Du Bellay
- Plût-il à Dieu n’avoir jamais tâté par Pierre De Ronsard
- Pour le May planté par les Imprimeurs de Lyon par Clément Marot
- Pour son tombeau par Pierre De Ronsard
- Pourtant si ta maîtresse… par Pierre De Ronsard
- Prélat, à qui les cieux ce bonheur ont donné par Joachim Du Bellay
- Pren ceste rose aimable comme toy par Pierre De Ronsard
- Pressé de désespoir, mes yeux flambants je dresse par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Prière du matin par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Prière du soir par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Psaume CXXI par Jean-Antoine De Baïf
- Psaume V par Jean-Antoine De Baïf
- Psaume VI par Jean-Antoine De Baïf
- Pseaume troisième par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Puis m’apparut une pointe aiguisée par Joachim Du Bellay
- Puisque le cors blessé, mollement estendu par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Qu’heureux tu es, Baïf, heureux, et plus qu’heureux par Joachim Du Bellay
- Quand au temple nous serons par Pierre De Ronsard
- Quand ce brave séjour, honneur du nom Latin par Joachim Du Bellay
- Quand cette belle fleur premièrement je vis par Joachim Du Bellay
- Quand du sort inhumain les tenailles flambantes par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Quand j’ai pensé en vous, ma bien-aimée par Clément Marot
- Quand je pense à ce jour, où je la vey si belle par Pierre De Ronsard
- Quand je suis tout baissé sur votre belle face par Pierre De Ronsard
- Quand je suis vingt ou trente mois par Pierre De Ronsard
- Quand je te dis adieu, pour m’en venir ici par Joachim Du Bellay
- Quand je te vis entre un millier de Dames par Jean-Antoine De Baïf
- Quand je te voy seule assise à par-toy par Pierre De Ronsard
- Quand je vois ces messieurs, desquels l’autorité par Joachim Du Bellay
- Quand je voudrai sonner de mon grand Avanson par Joachim Du Bellay
- Quand la fureur, qui bat les grands coupeaux par Joachim Du Bellay
- Quand le pilot voit le nord luire ès cieux par Jean-Antoine De Baïf
- Quand le Soleil lave sa tête blonde par Joachim Du Bellay
- Quand mon esprit jadis sujet à ta colère par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle par Pierre De Ronsard
- Que dirons-nous, Melin, de cette cour romaine par Joachim Du Bellay
- Que ferai-je, Morel ? Dis-moi, si tu l’entends par Joachim Du Bellay
- Que n’ai-je encor la harpe thracienne par Joachim Du Bellay
- Que tu es Ciceron par Pierre De Ronsard
- Quel est celui qui veut faire croire de soi par Joachim Du Bellay
- Qui a nombré, quand l’astre, qui plus luit par Joachim Du Bellay
- Qui a vu quelquefois un grand chêne asséché par Joachim Du Bellay
- Qui est ami du coeur est ami de la bourse par Joachim Du Bellay
- Qui niera, Gillebert, s’il ne veut résister par Joachim Du Bellay
- Qui veut avoir liesse par Clément Marot
- Qui voudra voir comme un Dieu me surmonte par Pierre De Ronsard
- Qui voudra voir tout ce qu’ont pu nature par Joachim Du Bellay
- Qui voudrait figurer la romaine grandeur par Joachim Du Bellay
- Quiconque fit d’Amour la pourtraiture par Jean-Antoine De Baïf
- Quiconque sur les os des tombeaux effroyables par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Quiconque, mon Bailleul, fait longuement séjour par Joachim Du Bellay
- Quoy mon ame, dors tu engourdie en ta masse par Pierre De Ronsard
- Réplique à la reine de Navarre par Clément Marot
- Réveil par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Ronsard si tu as su par tout le monde épandre par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Ronsard, j’ai vu l’orgueil des colosses antiques par Joachim Du Bellay
- Sacrés coteaux, et vous saintes ruines par Joachim Du Bellay
- Scève, je me trouvai comme le fils dAnchise par Joachim Du Bellay
- Secourez-moi, ma Dame par amours par Clément Marot