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Poésies 123Poésies 123
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Accueil > Tous les recueils > Poème de l’amour de Anna de Noailles

Poème de l’amour

  • À présent que j’ai bien connu
  • À quoi veux-tu songer? À toi. Songeons à toi.
  • Ah ! j’avais bien raison de craindre
  • Ai-je imprudemment souhaité
  • Aimer, c’est de ne mentir plus
  • Ami parmi tous les amis
  • Amour, pourquoi toujours mêler ton nom divin
  • Aucun jour je ne me suis dit
  • Automne pluvieux, mélancolique automne
  • Azuré, faible, blessé
  • Bien peu de cœurs sont désirants
  • C’est d’une adresse humble et savante
  • C’est l’hiver, le ciel semble un toit
  • Ce fut long, difficile et triste
  • Ce n’est pas cet excès qui m’enivre et m’accable
  • Ce n’est pas lorsque tu semblais
  • Ce n’est pas une tendre chose
  • Ce n’est peut-être pas le tribut que réclame
  • Ce qu’on tolère mal dans un amour extrême
  • Ce que je voudrais ? Je ne sais
  • Certes j’aime ce que je pense
  • Certes tu n’étais pas créé pour moi, cher être
  • Ceux qui, hors du rêve et des transes
  • Combien de fois aurais-je dû
  • Comprends que je déraisonne
  • Crois-moi, ce n’est pas aisément
  • Dans les instants où je dors
  • Dans les ténèbres de Vérone
  • Demeure craintif, raisonnable
  • En ce moment tu ne sais pas
  • En ton absence je ne puis
  • En vain la peur d’un joug tendre et fatal
  • Enfin je puis ne plus épier le printemps!
  • Enfin la première nuit froide
  • Es-tu bon ? Oui, puisque je t’aime
  • Fais ce que tu veux, désormais
  • Faut-il que tu sois juste aussi
  • Il est doux d’aimer faiblement
  • Il faudra bien pourtant que le jour vienne, un jour
  • Il fut un temps où, turbulente
  • Il n’est pas vrai qu’on soit orgueilleux d’aimer tant
  • Il y a quelque nonchalance
  • Impérieux mais indolent
  • J’ai perdu l’univers puisque tu me suffis
  • J’ai puissamment goûté l’orgueil
  • J’ai souffert, lutté
  • J’ai travesti, pour te complaire
  • J’ai vraiment vécu des jours-tels
  • J’ai, dès l’enfance, avec un œil audacieux
  • J’aime d’un amour clandestin
  • Jadis je me sentais unique
  • Je bénis le sommeil, lui seul peut déformer
  • Je crois à l’âme, si c’est elle
  • Je crois que j’ai dû te parler
  • Je croyais que l’amour c’était toi seul. J’entends
  • Je me taisais, j’avais fait voeu
  • Je n’ai besoin, de toi, que toi-même! sans l’âme
  • Je n’ai pas écrit par raison
  • Je n’aime pas que tu me plaises
  • Je n’attends pas de la Nature
  • Je ne croyais pas trouver là
  • Je ne fais pas cas de ta gratitude
  • Je ne puis comparer mon mal
  • Je ne puis jamais reposer
  • Je ne reconnais pas ta personne présente
  • Je ne t’aime pas pour que ton esprit
  • Je ne veux pas souffrir du doute
  • Je ne veux pas ta vérité
  • Je ne voudrais qu’un changement
  • Je possédais tout, mais je t’aime
  • Je songe au jardin, et à toi
  • Je suis lasse, rien ne m’assiste
  • Je suis sûre de ta bonté
  • Je t’aimais par les yeux, je puis
  • Je voudrais bien qu’on départage
  • Je voudrais mourir, mais non pas
  • Je voyais, aussi nettement
  • Jusqu’où peut-on aimer, poursuivre, détenir ?
  • L’amour et ses élans pudiques
  • L’amour, vorace et triste, en son humble folie
  • L’automne a lentement mouillé les paysages
  • L’esprit conquérant souhaitait
  • L’hiver aux opaques parois
  • L’orgueil est l’ennemi constant
  • La bonté, n’étant pas l’excès
  • La pluie est cette nuit d’été
  • Le bonheur ainsi que l’ennui
  • Le bonheur d’aimer est si fort
  • Le courage est ce qui remplace
  • Le désir accable et tourmente
  • Le désir triomphal, en son commencement
  • Le hasard et les jours passent d’un pied rapide
  • Le plus hanté des deux amants
  • Le secret est plus évident
  • Le silence répand son vide
  • Le temps n’a pas toujours une égale valeur
  • Les cœurs purs et spirituels
  • Les mots que tu me dis ne comptent pas beaucoup
  • Les mots sans qu’on les craigne ont d’effrayants pouvoirs
  • Les vers que je t’écris ne sont pas d’Orient
  • Les volets, les rideaux, les portes
  • Lorsque je souffre trop de ton brillant visage
  • Lorsque l’on n’aime pas, l’on devine, l’on sait
  • Lorsque tu ne seras, dans quelque humble retraite
  • Matin, j’ai tout aimé, et j’ai tout trop aimé
  • Meurt-on d’aimer ? On peut le croire
  • Moi seule je connais ta langoureuse allure
  • Moi-même j’ai pensé parfois
  • Mon enfance, dans mon cœur
  • Mon esprit, séduit et plaintif
  • Nos maux nous ont tués; si nous vivons encor
  • Nous t’avons bien redouté
  • Ô suave ami périssable
  • On est bon si l’on est tranquille
  • On m’a parlé ce soir des villes savoureuses
  • On ne sait si l’amour ressemble à la prière
  • Oui, la douceur est toujours feinte
  • Parce que dès l’enfance et d’instinct tu fus triste
  • Pareils à l’Océan qui dans sa force trouble
  • Parfois on ne peut pas t’atteindre
  • Parfois, quand j’aperçois mon flamboyant visage
  • Peut-être faut-il accepter
  • Peut-être jamais ne saurai-je
  • Peut-être que ton corps charmant, qui me tourmente
  • Pourquoi ce besoin fort et triste
  • Puisque je ne puis pas savoir
  • Puisque le cœur même, et le temps
  • Quand ce soir tu t’endormiras
  • Quand je suis ivre de tourment
  • Quand je t’ai raconté l’histoire
  • Quand l’argentine nuit se répand dans l’espace
  • Quand la musique en feu déchaîne ses poèmes
  • Quand mon esprit fringant, et pourtant aux abois
  • Quand tu me plaisais tant que j’en pouvais mourir
  • Quand un soudain sommeil a séparé de toi
  • Que crains-tu ? L’excès ? l’abondance
  • Que m’importe que l’on te juge
  • Que puis-je te donner qui te rende paisible ?
  • Que puis-je te laisser qui t’émeuve et survive
  • Quelque douleur que je ressente
  • Rien; l’univers n’est rien. Nulle énigme pour l’homme
  • Royalement, peut-être en vain
  • S’il te plaît de savoir jusqu’où
  • Sans doute ma vie est plus morne
  • Sans regrets, crois-moi, sans effroi
  • Sauf toi, tous les humains regards
  • Si j’apprenais soudain que, triste, halluciné
  • Si je n’aimais que toi en toi
  • Si je t’aime avec cet excès
  • Si même la pudeur des anges
  • Si quelque être te plaît, ne lutte pas, aborde
  • Si tu rencontrais par moment
  • Si vraiment les mots t’embarrassent
  • Tant aimer! Non, aucun orgueil
  • Toujours, à toutes les secondes
  • Tout ce que nous aimons est déjà sous la terre
  • Tout le ciel d’été me renvoie
  • Tu as ta force, j’ai ma ruse
  • Tu es comme tu pouvais être
  • Tu m’as quittée; adieu, je pense à toi
  • Tu m’as retiré mon orgueil
  • Tu m’enchantes, je te supporte
  • Tu me donnes enfin la paix
  • Tu n’as aucun tort
  • Tu ne peux avoir de bonté
  • Tu ne peux rien pour moi, puisque je t’aime
  • Tu sais, je n’étais pas modeste
  • Tu vis, — moi je porte le faix
  • Tu vis, tu parles, tu possèdes
  • Un jour où je ne pus comprendre
  • Un soir où tu ne parlais pas
  • Un triste orgue de Barbarie
  • Vis sans efforts et sans débats
  • Vivre, c’est désirer encor

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