Découvrez les œuvres de Anna de Noailles, auteur français.
- À la nuit
- À présent que j’ai bien connu
- À quoi veux-tu songer? À toi. Songeons à toi.
- Ah ! j’avais bien raison de craindre
- Ai-je imprudemment souhaité
- Aimer, c’est de ne mentir plus
- Ami parmi tous les amis
- Amour, pourquoi toujours mêler ton nom divin
- Aucun jour je ne me suis dit
- Automne pluvieux, mélancolique automne
- Azuré, faible, blessé
- Bien peu de cœurs sont désirants
- Bittô
- C’est d’une adresse humble et savante
- C’est l’hiver, le ciel semble un toit
- Ce fut long, difficile et triste
- Ce n’est pas cet excès qui m’enivre et m’accable
- Ce n’est pas lorsque tu semblais
- Ce n’est pas une tendre chose
- Ce n’est peut-être pas le tribut que réclame
- Ce qu’on tolère mal dans un amour extrême
- Ce que je voudrais ? Je ne sais
- Certes j’aime ce que je pense
- Certes tu n’étais pas créé pour moi, cher être
- Ceux qui, hors du rêve et des transes
- Combien de fois aurais-je dû
- Comprends que je déraisonne
- Crois-moi, ce n’est pas aisément
- Dans les instants où je dors
- Dans les ténèbres de Vérone
- Demeure craintif, raisonnable
- Dissuasion
- En ce moment tu ne sais pas
- En ton absence je ne puis
- En vain la peur d’un joug tendre et fatal
- Enfin je puis ne plus épier le printemps!
- Enfin la première nuit froide
- Es-tu bon ? Oui, puisque je t’aime
- Éva
- Exaltation
- Fais ce que tu veux, désormais
- Faut-il que tu sois juste aussi
- Il est doux d’aimer faiblement
- Il faudra bien pourtant que le jour vienne, un jour
- Il fera longtemps clair ce soir…
- Il fut un temps où, turbulente
- Il n’est pas vrai qu’on soit orgueilleux d’aimer tant
- Il y a quelque nonchalance
- Impérieux mais indolent
- J’ai perdu l’univers puisque tu me suffis
- J’ai puissamment goûté l’orgueil
- J’ai souffert, lutté
- J’ai travesti, pour te complaire
- J’ai vraiment vécu des jours-tels
- J’ai, dès l’enfance, avec un œil audacieux
- J’aime d’un amour clandestin
- Jadis je me sentais unique
- Je bénis le sommeil, lui seul peut déformer
- Je crois à l’âme, si c’est elle
- Je crois que j’ai dû te parler
- Je croyais que l’amour c’était toi seul. J’entends
- Je me taisais, j’avais fait voeu
- Je n’ai besoin, de toi, que toi-même! sans l’âme
- Je n’ai pas écrit par raison
- Je n’aime pas que tu me plaises
- Je n’attends pas de la Nature
- Je ne croyais pas trouver là
- Je ne fais pas cas de ta gratitude
- Je ne puis comparer mon mal
- Je ne puis jamais reposer
- Je ne reconnais pas ta personne présente
- Je ne t’aime pas pour que ton esprit
- Je ne veux pas souffrir du doute
- Je ne veux pas ta vérité
- Je ne voudrais qu’un changement
- Je possédais tout, mais je t’aime
- Je songe au jardin, et à toi
- Je suis lasse, rien ne m’assiste
- Je suis sûre de ta bonté
- Je t’aimais par les yeux, je puis
- Je voudrais bien qu’on départage
- Je voudrais mourir, mais non pas
- Je voyais, aussi nettement
- Jusqu’où peut-on aimer, poursuivre, détenir ?
- L’amour
- L’amour et ses élans pudiques
- L’amour, vorace et triste, en son humble folie
- L’appel
- L’ardeur
- L’Automne
- L’automne a lentement mouillé les paysages
- L’Empreinte
- L’Enfant Éros
- L’esprit conquérant souhaitait
- L’hiver
- L’hiver aux opaques parois
- L’Image
- L’innocence
- L’Inquiet Désir
- L’Offrande à la nature
- L’Orgueil
- L’orgueil est l’ennemi constant
- La bonté, n’étant pas l’excès
- La Chaude Chanson
- La cité natale
- La conscience
- La jeunesse
- La journée heureuse
- La mort dit à l’homme…
- La mort fervente
- La pluie est cette nuit d’été
- La tristesse dans le parc
- La Vie profonde
- Le Baiser
- Le bonheur ainsi que l’ennui
- Le bonheur d’aimer est si fort
- Le Cœur
- Le courage est ce qui remplace
- Le désir accable et tourmente
- Le désir triomphal, en son commencement
- Le hasard et les jours passent d’un pied rapide
- Le Jardin et la Maison
- Le Pays
- Le plus hanté des deux amants
- Le repos
- Le secret est plus évident
- Le silence répand son vide
- Le Temps de vivre
- Le temps n’a pas toujours une égale valeur
- Le Verger
- Les cœurs purs et spirituels
- Les mots que tu me dis ne comptent pas beaucoup
- Les mots sans qu’on les craigne ont d’effrayants pouvoirs
- Les Parfums
- Les paysages
- Les Rêves
- Les Saisons et l’Amour
- Les vers que je t’écris ne sont pas d’Orient
- Les volets, les rideaux, les portes
- Lorsque je souffre trop de ton brillant visage
- Lorsque l’on n’aime pas, l’on devine, l’on sait
- Lorsque tu ne seras, dans quelque humble retraite
- Matin, j’ai tout aimé, et j’ai tout trop aimé
- Meurt-on d’aimer ? On peut le croire
- Moi seule je connais ta langoureuse allure
- Moi-même j’ai pensé parfois
- Mon enfance, dans mon cœur
- Mon esprit, séduit et plaintif
- Nos maux nous ont tués; si nous vivons encor
- Nous t’avons bien redouté
- Ô lumineux matin
- Ô suave ami périssable
- Offrande à Pan
- On est bon si l’on est tranquille
- On m’a parlé ce soir des villes savoureuses
- On ne sait si l’amour ressemble à la prière
- Oui, la douceur est toujours feinte
- Parce que dès l’enfance et d’instinct tu fus triste
- Pareils à l’Océan qui dans sa force trouble
- Parfois on ne peut pas t’atteindre
- Parfois, quand j’aperçois mon flamboyant visage
- Paroles à la lune
- Peut-être faut-il accepter
- Peut-être jamais ne saurai-je
- Peut-être que ton corps charmant, qui me tourmente
- Plainte
- Pourquoi ce besoin fort et triste
- Puisque je ne puis pas savoir
- Puisque le cœur même, et le temps
- Quand ce soir tu t’endormiras
- Quand je suis ivre de tourment
- Quand je t’ai raconté l’histoire
- Quand l’argentine nuit se répand dans l’espace
- Quand la musique en feu déchaîne ses poèmes
- Quand mon esprit fringant, et pourtant aux abois
- Quand tu me plaisais tant que j’en pouvais mourir
- Quand un soudain sommeil a séparé de toi
- Que crains-tu ? L’excès ? l’abondance
- Que m’importe que l’on te juge
- Que puis-je te donner qui te rende paisible ?
- Que puis-je te laisser qui t’émeuve et survive
- Quelque douleur que je ressente
- Rien; l’univers n’est rien. Nulle énigme pour l’homme
- Royalement, peut-être en vain
- S’il te plaît de savoir jusqu’où
- Sans doute ma vie est plus morne
- Sans regrets, crois-moi, sans effroi
- Sauf toi, tous les humains regards
- Si j’apprenais soudain que, triste, halluciné
- Si je n’aimais que toi en toi
- Si je t’aime avec cet excès
- Si même la pudeur des anges
- Si quelque être te plaît, ne lutte pas, aborde
- Si tu rencontrais par moment
- Si vraiment les mots t’embarrassent
- Soir d’été
- Tant aimer! Non, aucun orgueil
- Toujours, à toutes les secondes
- Tout ce que nous aimons est déjà sous la terre
- Tout le ciel d’été me renvoie