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Poésies 123Poésies 123
Poésie française classique et contemporaine : Poèmes, Comptines, Chansons pour enfants ...
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Accueil > Tous les recueils > Les Regrets de Joachim Du Bellay

Les Regrets

  • A monsieur d’Avanson
  • A son livre
  • Après avoir longtemps erré sur le rivage
  • Autant comme l’on peut en un autre langage
  • Baif, qui, comme moi, prouves l’adversité
  • Brusquet à son retour vous racontera, Sire
  • C’est ores, mon Vineus, mon cher Vineus, c’est ore
  • C’était ores, c’était qu’à moi je devais vivre
  • Ce n’est l’ambition, ni le soin d’acquérir
  • Ce n’est le fleuve tusque au superbe rivage
  • Ce n’est pas sans propos qu’en vous le ciel a mis
  • Cent fois plus qu’à louer on se plaît à médire
  • Cependant qu’au palais de procès tu devises
  • Cependant que la Cour mes ouvrages lisait
  • Cependant que Magny …
  • Cependant que tu dis ta Cassandre divine
  • Cependant que tu suis le lièvre par la plaine
  • Ceux qui sont amoureux, leurs amours chanteront
  • Comme le marinier, que le cruel orage
  • Comme un qui veut curer quelque cloaque immonde
  • Comte, qui ne fis onc compte de la grandeur
  • Cousin, parle toujours des vices en commun
  • Dans l’enfer de son corps mon esprit attaché
  • De ce royal palais que bâtiront mes doigts
  • De quelque autre sujet que j’écrive, Jodelle
  • De voir mignon du roi un courtisan honnête
  • De votre Dianet
  • Dedans le ventre obscur, où jadis fut enclos
  • Depuis que j’ai laissé mon naturel séjour
  • Dessous ce grand François, dont le bel astre luit
  • Digne fils de Henri, notre Hercule gaulois
  • Doulcin, quand quelquefois je vois ces pauvres filles
  • En mille crespillons les cheveux se friser
  • Encore que l’on eût heureusement compris
  • Esprit royal, qui prends de lumière éternelle
  • Et je pensais aussi ce que pensait Ulysse
  • Flatter un créditeur, pour son terme allonger
  • France, mère des arts, des armes et des lois
  • Fuyons, Dilliers, fuyons cette cruelle terre
  • Gordes, à m’est avis que je suis éveillé
  • Gordes, j’ai en horreur un vieillard vicieux
  • Gordes, que Du Bellay aime plus que ses yeux
  • Heureux celui qui peut longtemps suivre la guerre
  • Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage
  • Heureux, de qui la mort de sa gloire est suivie
  • Ici de mille fards la traïson se déguise
  • Il fait bon voir, Paschal, un conclave serré
  • J’aime la liberté, et languis en service
  • Je fus jadis Hercule, or Pasquin je me nomme
  • Je hais du Florentin l’usurière avarice
  • Je hais plus que la mort un jeune casanier
  • Je me ferai savant en la philosophie
  • Je n’ai jamais pensé que cette voûte ronde
  • Je n’escris point d’amour, n’estant point amoureux
  • Je ne commis jamais fraude ni maléfice
  • Je ne découvre ici les mystères sacrés
  • Je ne suis pas de ceux qui robent la louange
  • Je ne te conterai de Bologne et Venise
  • Je ne veux feuilleter les exemplaires Grecs
  • Je ne veux point fouiller au sein de la nature
  • La grecque poésie orgueilleuse se vante
  • La jeunesse, Du Val, jadis me fit écrire
  • La nef qui longuement a voyagé, Dillier
  • La terre y est fertile, amples les édifices
  • Las où est maintenant ce mespris de Fortune
  • Le Breton est savant et sait fort bien écrire
  • Magny, je ne puis voir un prodigue d’honneur
  • Maintenant je pardonne à la douce fureur
  • Malheureux l’an, le mois, le jour, l’heure et le point
  • Maraud, qui n’es maraud que de nom seulement
  • Marcher d’un grave pas, et d’un grave sourcil
  • Maudit soit mille fois le Borgne de Libye
  • Morel, quand quelquefois je perds le temps à lire
  • Muse, qui autrefois chantas la verte Olive
  • N’étant de mes ennuis la fortune assouvie
  • N’étant, comme je suis, encore exercité
  • Ne lira-t-on jamais que ce dieu rigoureux
  • Ne pense pas, Bouju, que les nymphes latines
  • Ne t’ébahis, Ronsard, la moitié de mon âme
  • Non pour ce qu’un grand roi ait été votre père
  • Nous ne faisons la cour aux filles de Mémoire
  • Ô beaux cheveux d’argent mignonnement retors
  • Ô combien est heureux qui n’est contraint de feindre
  • Ô marâtre nature (et marâtre es-tu bien
  • Ô qu’heureux est celui qui peut passer son âge
  • Ô que tu es heureux, si tu connais ton heur
  • Ô trois et quatre fois malheureuse la terre
  • On donne les degrés au savant écolier
  • Ores, plus que jamais, me plaît d’aimer la Muse
  • Où que je tourne l’oeil, soit vers le Capitole
  • Panjas, veux-tu savoir quels sont mes passe-temps
  • Prélat, à qui les cieux ce bonheur ont donné
  • Qu’heureux tu es, Baïf, heureux, et plus qu’heureux
  • Quand cette belle fleur premièrement je vis
  • Quand je te dis adieu, pour m’en venir ici
  • Quand je vois ces messieurs, desquels l’autorité
  • Quand je voudrai sonner de mon grand Avanson
  • Que dirons-nous, Melin, de cette cour romaine
  • Que ferai-je, Morel ? Dis-moi, si tu l’entends
  • Quel est celui qui veut faire croire de soi
  • Qui est ami du coeur est ami de la bourse
  • Qui niera, Gillebert, s’il ne veut résister
  • Quiconque, mon Bailleul, fait longuement séjour
  • Ronsard, j’ai vu l’orgueil des colosses antiques
  • Scève, je me trouvai comme le fils dAnchise
  • Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon oeil
  • Si après quarante ans de fidèle service
  • Si celui qui s’apprête à faire un long voyage
  • Si fruits, raisins et blés, et autres telles choses
  • Si je monte au Palais, je n’y trouve qu’orgueil
  • Si la perte des tiens, si les pleurs de ta mère
  • Si la vertu, qui est de nature immortelle
  • Si les larmes servaient de remède au malheur
  • Si mes écrits, Ronsard, sont semés de ton los
  • Si onques de pitié ton âme fut atteinte
  • Si par peine et sueur et par fidélité
  • Si pour avoir passé sans crime sa jeunesse
  • Si tu m’en crois, Baïf, tu changeras Parnasse
  • Si tu ne sais, Morel, ce que je fais ici
  • Si tu veux sûrement en cour te maintenir
  • Sire, celui qui est a formé toute essence
  • Tu dis que Du Bellay tient réputation
  • Tu ne me vois jamais, Pierre, que tu ne die
  • Tu sois la bienvenue, ô bienheureuse trêve !
  • Tu t’abuses, Belleau, si pour être savant
  • Un plus savant que moi, Paschal, ira songer
  • Veux-tu savoir, Duthier, quelle chose c’est Rome
  • Vivons, Gordes, vivons, vivons, et pour le bruit
  • Voyant l’ambition, l’envie, et l’avarice
  • Vu le soin ménager dont travaillé je suis

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