- Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon oeil par Joachim Du Bellay
- Si après quarante ans de fidèle service par Joachim Du Bellay
- Si celui qui s’apprête à faire un long voyage par Joachim Du Bellay
- Si de nouveau j’ai nouvelles couleurs par Clément Marot
- Si fruits, raisins et blés, et autres telles choses par Joachim Du Bellay
- Si je monte au Palais, je n’y trouve qu’orgueil par Joachim Du Bellay
- Si je trépasse entre tes bras, Madame par Pierre De Ronsard
- Si l’aveugle fureur, qui cause les batailles par Joachim Du Bellay
- Si la perte des tiens, si les pleurs de ta mère par Joachim Du Bellay
- Si la vertu, qui est de nature immortelle par Joachim Du Bellay
- Si les larmes servaient de remède au malheur par Joachim Du Bellay
- Si mes écrits, Ronsard, sont semés de ton los par Joachim Du Bellay
- Si mille oeillets, si mille liz j’embrasse par Pierre De Ronsard
- Si nostre vie est moins qu’une journée… par Joachim Du Bellay
- Si onques de pitié ton âme fut atteinte par Joachim Du Bellay
- Si par peine et sueur et par fidélité par Joachim Du Bellay
- Si pour avoir passé sans crime sa jeunesse par Joachim Du Bellay
- Si seulement l’image de la chose par Pierre De Ronsard
- Si tu m’en crois, Baïf, tu changeras Parnasse par Joachim Du Bellay
- Si tu ne sais, Morel, ce que je fais ici par Joachim Du Bellay
- Si tu veux que je meure… par Rémy Belleau
- Si tu veux sûrement en cour te maintenir par Joachim Du Bellay
- Si vous voyiez mon coeur ainsi que mon visage par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Sire, celui qui est a formé toute essence par Joachim Du Bellay
- Soit que son or se crêpe lentement par Pierre De Ronsard
- Sonnet de la différence du Roy et de l’empereur par Clément Marot
- Sort inique et cruel ! le triste laboureur par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Soubs la tremblante courtine par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Soupirs épars, sanglots en l’air perdus par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Sous un oeil languissant et pleurant à demi par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Stances par Pierre De Ronsard
- Sur la croupe d’un mont je vis une fabrique par Joachim Du Bellay
- Sur la rive d’un fleuve une nymphe éplorée par Joachim Du Bellay
- Sur mes vingt ans, pur d’offense et de vice par Pierre De Ronsard
- Sus ! que mon âme donc aille servir son âme par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Tant de fois s’appointer, tant de fois se fascher par Pierre De Ronsard
- Tant que l’oiseau de Jupiter vola par Joachim Du Bellay
- Tant que vivrai en âge florissant par Clément Marot
- Te regardant assise auprès de ta cousine par Pierre De Ronsard
- Telle que dans son char la Bérécynthienne par Joachim Du Bellay
- Tels que l’on vit jadis les enfants de la Terre par Joachim Du Bellay
- Toi qui de Rome émerveillé contemples par Joachim Du Bellay
- Tout ce qu’Egypte en pointe façonna par Joachim Du Bellay
- Tout cela qui sent l’homme à mourir me convie par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Tout effrayé de ce monstre nocturne par Joachim Du Bellay
- Tout le parfait dont le ciel nous honore par Joachim Du Bellay
- Tu dis que Du Bellay tient réputation par Joachim Du Bellay
- Tu me desplais, quoy que belle tu soys par Jean-Antoine De Baïf
- Tu ne me vois jamais, Pierre, que tu ne die par Joachim Du Bellay
- Tu sois la bienvenue, ô bienheureuse trêve ! par Joachim Du Bellay
- Tu t’abuses, Belleau, si pour être savant par Joachim Du Bellay
- Tu vois, juste vengeur, les fleaux de ton Eglise par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Un clairvoyant faucon en volant par rivière par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Un jour, quand de lyver l’ennuieuse froidure par Jean-Antoine De Baïf
- Un plus savant que moi, Paschal, ira songer par Joachim Du Bellay
- Une amoureuse ardeur par Jean-Antoine De Baïf
- Une beauté de quinze ans enfantine par Pierre De Ronsard
- Une louve je vis sous l’antre d’un rocher par Joachim Du Bellay
- Usons ici le fiel de nos fâcheuses vies par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Verson ces roses pres ce vin par Pierre De Ronsard
- Veux-tu savoir, Duthier, quelle chose c’est Rome par Joachim Du Bellay
- Vien ça, vien friandelette par Jean-Antoine De Baïf
- Viens, mort, à mon secours viens par Jean-Antoine De Baïf
- Vivons, Gordes, vivons, vivons, et pour le bruit par Joachim Du Bellay
- Voici la mort du ciel… par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Vous me distes, Maitresse, estant à la fenestre par Pierre De Ronsard
- Vous qui avez écrit qu’il n’y a plus en terre par Théodore Agrippa D'Aubigné
- Voyant l’ambition, l’envie, et l’avarice par Joachim Du Bellay
- Vu le soin ménager dont travaillé je suis par Joachim Du Bellay
- Vu que tu es plus blanche par Pierre De Ronsard