Découvrez les œuvres de Victor Hugo, poète, dramaturge, prosateur romantique, écrivain français né le 26/02/1802 à Besançon (France), décédé le 22/05/1885 à Paris (France).
- 1er janvier
- À ****
- A André Chénier
- A celle qui est voilée
- À cette terre où l’on ploie
- À des âmes envolées
- À Georges
- A Granville, en 1836
- À Jeanne (I)
- À L.
- À l’enfant malade pendant le siège.
- A la fenêtre, pendant la nuit
- À la France.
- A la mère de l’enfant mort
- À Laure, duchesse d’A.
- À Louis B.
- A M. Froment Meurice
- À M. le duc de ***
- A ma fille
- À ma fille Adèle
- À Mademoiselle Fanny de P.
- À petite Jeanne.
- À qui la faute ?
- A quoi songeaient les deux cavaliers …
- À un écrivain
- À un homme fini
- À un poète
- A un poète aveugle
- À une jeune femme
- À Vianden
- Ah ! vous voulez la lune ?
- Aimons toujours ! Aimons encore
- Anima vilis
- Apparition
- Après l’hiver
- Au roi Louis-Philippe après un arrêt de mort
- Au statuaire David
- Autre guitare
- Aux arbres
- Aux prêtres
- Bêtise de la guerre
- C’est à coups de canon
- C’est bien ; puisqu’au sénat, puisqu’à la pourriture
- C’est une émotion étrange
- Cæruleum mare
- Ce que c’est que la mort
- Ce qui se passait aux Feuillantines, vers 1813
- Cent mille hommes
- Chant sur le berceau
- Choses du soir
- Comme dans les étangs assoupis sous les bois
- Crépuscule
- Dans le cimetière de ***
- Demain, dès l’aube…
- Dieu qui sourit et qui donne
- Éclaircie
- Éclipse
- Ecrit après la visite d’un bagne
- Écrit sur la première page d’un livre de Joseph de Maistre
- Écrit sur la vitre d’une fenêtre flamande
- Écrit sur le tombeau d’un petit enfant au bord de la mer
- Elle passa, je crois qu’elle m’avait souri
- En hiver la terre pleure
- En marchant la nuit dans un bois
- En passant dans la place Louis XV un jour de fête publique
- Encore Dieu, mais avec des restrictions
- Et Jeanne à Mariette a dit
- Et les voilà mentant, inventant, misérables
- Exil
- Fenêtres ouvertes
- Fiat voluntas
- Fonction du poète
- France ! à l’heure où tu te prosternes
- Fulgur
- Georges et Jeanne
- Grand âge et bas âge mêlés
- Guitare
- Heureux l’homme occupé …
- Idolâtries et Philosophies
- Inde Irae
- J’aime l’araignée
- J’eus toujours de l’amour pour les choses ailées
- Je prendrai par la main les deux petits enfants
- Jeanne endormie (II)
- Jeanne fait son entrée
- Jeanne songeait
- Jolies femmes
- L’art et le peuple
- L’autre
- L’échafaud
- L’échafaud
- L’exilé satisfait
- L’ombre
- La conscience
- La face de la bête est terrible
- La hache ? Non. Jamais…
- La nature
- La satire à présent, chant où se mêle un cri
- La sieste
- La statue
- Laetitia rerum
- Le bout de l’oreille
- Le monde et le siècle
- Le Mont-aux-pendus (Jersey)
- Le sept août mil huit cent vingt-neuf
- Le soutien des empires
- Le spectre que parfois je rencontre riait
- Le vieil esprit de nuit
- Les bonzes
- Les siècles sont au peuple
- Littérature
- Lorsque j’étais encore un tout jeune homme pâle
- Matelots ! matelots ! vous déploierez les voiles
- Mères, l’enfant qui joue à votre seuil joyeux
- Mille chemins, un seul but
- Muse, un nommé Ségur, évêque, m’est hostile
- Nuits de juin
- Ô sainte horreur du mal !
- Oceano nox
- Oh ! comme ils sont goulus !
- Oh ! quand je dors, viens auprès de ma couche
- On croyait dans ces temps où le pâtre nocturne
- Parfois c’est un devoir de féconder l’horreur
- Parfois, je me sens pris d’horreur
- Printemps
- Puits de l’Inde !
- Quand tu me parles de gloire
- Quand vous vous assemblez bruyante multitude
- Que la musique date du seizième siècle
- Regard jeté dans une mansarde
- Rencontre
- Se laisser calomnier
- Spectacle rassurant
- Sur un homme populaire
- Sur un portrait de sainte
- Tous les bas âges sont épars
- Toutes sortes d’enfants
- Tristesse d’Olympio
- Un jour je vis le sang couler
- Un manque
- Une bombe aux Feuillantines
- Voix dans le grenier