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Poésies 123Poésies 123
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Accueil > Tous les recueils > Les Antiquités de Rome de Joachim Du Bellay

Les Antiquités de Rome

  • Astres cruels, et vous dieux inhumains
  • Au Roi
  • Ayant tant de malheurs gémi profondément
  • C’était alors que le présent des dieux
  • Celle que Pyrrhe et le Mars de Libye
  • Celle qui de son chef les étoiles passait
  • Ces grands monceaux pierreux, ces vieux murs que tu vois
  • Comme l’on voit de loin sur la mer courroucée
  • Comme le champ semé en verdure foisonne
  • Comme on passe en été le torrent sans danger
  • De ce qu’on ne voit plus qu’une vague campagne
  • Dessus un mont une flamme allumée
  • Divins esprits, dont la poudreuse cendre
  • Espérez-vous que la postérité
  • Et puis je vis l’arbre dodonien
  • Finalement sur le point que Morphée
  • Je vis haut élevé sur colonnes d’ivoire
  • Je vis l’oiseau qui le soleil contemple
  • Je vis sourdre d’un roc une vive fontaine
  • Je vis un fier torrent, dont les flots écumeux
  • Le Babylonien ses hauts murs vantera
  • Mars, vergogneux d’avoir donné tant d’heur
  • Ni la fureur de la flamme enragée
  • Non autrement qu’on voit la pluvieuse nue
  • Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome
  • Ô que celui était cautement sage
  • Pâles esprits, et vous ombres poudreuses
  • Par armes et vaisseaux Rome dompta le monde
  • Plus qu’aux bords Aetëans le brave fils d’Eson
  • Plus riche assez que ne se montrait celle
  • Puis m’apparut une pointe aiguisée
  • Quand ce brave séjour, honneur du nom Latin
  • Que n’ai-je encor la harpe thracienne
  • Qui a vu quelquefois un grand chêne asséché
  • Qui voudra voir tout ce qu’ont pu nature
  • Qui voudrait figurer la romaine grandeur
  • Sacrés coteaux, et vous saintes ruines
  • Si l’aveugle fureur, qui cause les batailles
  • Sur la croupe d’un mont je vis une fabrique
  • Sur la rive d’un fleuve une nymphe éplorée
  • Tant que l’oiseau de Jupiter vola
  • Telle que dans son char la Bérécynthienne
  • Tels que l’on vit jadis les enfants de la Terre
  • Toi qui de Rome émerveillé contemples
  • Tout ce qu’Egypte en pointe façonna
  • Tout effrayé de ce monstre nocturne
  • Tout le parfait dont le ciel nous honore
  • Une louve je vis sous l’antre d’un rocher

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