- Astres cruels, et vous dieux inhumains
- Au Roi
- Ayant tant de malheurs gémi profondément
- C’était alors que le présent des dieux
- Celle que Pyrrhe et le Mars de Libye
- Celle qui de son chef les étoiles passait
- Ces grands monceaux pierreux, ces vieux murs que tu vois
- Comme l’on voit de loin sur la mer courroucée
- Comme le champ semé en verdure foisonne
- Comme on passe en été le torrent sans danger
- De ce qu’on ne voit plus qu’une vague campagne
- Dessus un mont une flamme allumée
- Divins esprits, dont la poudreuse cendre
- Espérez-vous que la postérité
- Et puis je vis l’arbre dodonien
- Finalement sur le point que Morphée
- Je vis haut élevé sur colonnes d’ivoire
- Je vis l’oiseau qui le soleil contemple
- Je vis sourdre d’un roc une vive fontaine
- Je vis un fier torrent, dont les flots écumeux
- Le Babylonien ses hauts murs vantera
- Mars, vergogneux d’avoir donné tant d’heur
- Ni la fureur de la flamme enragée
- Non autrement qu’on voit la pluvieuse nue
- Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome
- Ô que celui était cautement sage
- Pâles esprits, et vous ombres poudreuses
- Par armes et vaisseaux Rome dompta le monde
- Plus qu’aux bords Aetëans le brave fils d’Eson
- Plus riche assez que ne se montrait celle
- Puis m’apparut une pointe aiguisée
- Quand ce brave séjour, honneur du nom Latin
- Que n’ai-je encor la harpe thracienne
- Qui a vu quelquefois un grand chêne asséché
- Qui voudra voir tout ce qu’ont pu nature
- Qui voudrait figurer la romaine grandeur
- Sacrés coteaux, et vous saintes ruines
- Si l’aveugle fureur, qui cause les batailles
- Sur la croupe d’un mont je vis une fabrique
- Sur la rive d’un fleuve une nymphe éplorée
- Tant que l’oiseau de Jupiter vola
- Telle que dans son char la Bérécynthienne
- Tels que l’on vit jadis les enfants de la Terre
- Toi qui de Rome émerveillé contemples
- Tout ce qu’Egypte en pointe façonna
- Tout effrayé de ce monstre nocturne
- Tout le parfait dont le ciel nous honore
- Une louve je vis sous l’antre d’un rocher