Découvrez les œuvres de Emile Verhaeren, poète belge flamand, d'expression française né le 21/05/1855 à Saint-Amand (Belgique), décédé le 27/11/1916 à Rouen (France).
- A la Belgique
- A la gloire des cieux
- A la gloire du vent
- A Pâques
- Aprement
- Ardeur des sens, ardeur des coeurs…
- Asseyons-nous tous deux près du chemin
- Au bord du quai
- Au clos de notre amour, l’été se continue
- Au loin
- Au Nord
- Au passant d’un soir
- Au Reichstag
- Au temps où longuement j’avais souffert
- Autour de ma maison
- Aux moines
- Avec le même amour que tu me fus jadis
- Avec mes sens, avec mon coeur …
- Avec mes vieilles mains…
- Bien que déjà, ce soir
- C’est la bonne heure où la lampe s’allume
- C’était en juin, dans le jardin
- Cantiques
- Celle du jardin
- Celui de l’horizon
- Celui de la fatigue
- Celui du rien
- Ceux de Liége
- Chanson de fou (1)
- Chanson de fou (2)
- Chanson de fou (3)
- Chaque heure, où je songe à ta bonté
- Combien elle est facilement ravie
- Comme à d’autres, l’heure et l’humeur
- Comme aux âges naïfs, je t’ai donné mon coeur
- Comme tous les soirs
- Conseil absurde
- Croquis de cloître (I)
- Croquis de cloître (II)
- Croquis de cloître (III)
- Croquis de cloître (IV)
- Cuisson du pain
- Dans la maison où notre amour a voulu naître
- Dans la maison où notre amour a voulu naître
- Décembre
- Départ
- Des fleurs fines et mousseuses comme l’écume
- Des soirs
- Dialogue
- Dimanche matin
- Dis-moi, ma simple et ma tranquille amie
- En ce rugueux hiver…
- En hiver
- Eperdument
- Epilogue
- Et maintenant que sont tombés les hauts feuillages
- Et qu’importent et les pourquoi et les raisons
- Et te donner ne suffit plus, tu te prodigues
- Fin d’année
- Fleur fatale
- Fut-il en nous une seule tendresse
- Hélas ! les temps sont loin…
- Heure d’automne
- Heures mornes
- Hommage
- Il fait novembre en mon âme
- Inconscience
- Insatiablement
- J’ai cru à tout jamais notre joie engourdie
- Je dédie à tes pleurs, à ton sourire
- Je noie en tes deux yeux mon âme tout entière
- Je suis sorti des bosquets du sommeil
- Je t’apporte, ce soir…
- Kato
- L’abreuvoir
- L’action
- L’âge est venu, pas à pas, jour à jour
- L’amante
- L’âme de la ville
- L’ancienne gloire
- L’arbre
- L’attente
- L’aube, l’ombre, le soir, l’espace et les étoiles
- L’effort
- L’en-avant
- L’enclos
- L’Escaut
- L’Est, l’Ouest, le Sud, le Nord
- L’étable
- L’étal
- L’éternelle lueur
- L’Europe
- L’hérésiarque
- L’immobile beauté
- L’ombre est lustrale et l’aurore irisée
- L’orage
- L’orgueil
- La barque
- La bêche
- La bénédiction de la mer
- La bourse
- La chance
- La clémence
- La conquête
- La couronne
- La crypte
- La cuisine
- La dame en noir
- La ferme
- La folie
- La foule
- La glycine est fanée et morte est l’aubépine
- La Grand’Place
- La grande chambre
- La joie
- La kermesse
- La louange du corps humain
- La Lys
- La mort
- La morte
- La neige
- La nuit
- La petite vierge
- La peur
- La plaine
- La plaine (I)
- La plaine (II)
- La pluie
- La révolte
- La Saint-Jean
- La vachère
- La vie
- La vie ardente
- La vieille
- La vieille demoiselle
- La ville