Vous avec trop d’appas. par Michel Lambert

Vous avez trop d’appâts,
Ô ! doux liens ! aimables chaînes,
Je ne vous romprai pas.
Vous avez trop d’appâts :
Il est beau de languir
En de si douces peines,
Il est beau de mourir d’un si charmant trépas.
Vous avez trop d’appâts.


Michel Lambert